Qui est Derwicha ?

mardi 24 juillet 2012

La rupture d'une veine jugulaire



Il y avait cet homme et cette femme et il y avait ces milliers d’individus  autour, c’est marrant,quand l’amour est là, le monde nous parait plus doux, plus calme, plus rose, comme si toutes les guerres, si toutes les misères du monde s’étaient essoufflées en laissant place à un amour pur, sincère et terrible.
Mais cette sensation n’est-elle pas éphémère, n’est-elle pas qu’une illusion puisque l’amour ne dure jamais ?

Je connaissais des amants, personne, ni rien n’aurait pu les séparer, ils s’étaient entailler les veines à l’Art, à l’amour, ils s’enivraient chaque soir à leurs histoires, leurs récit et leurs créations, ils étaient comme la lune qui prend la place du soleil à la tombée du jour et le soleil qui vient prendre la place de la lune à l’aube, il n’y avait pas plus parfaite relation à mes yeux, c’était comme un film, d’amour, un film de bonheur, une histoire dont les lignes s’entrelaçait et ne finiraient jamais de s’écrire, je ne pouvais me dire qu’une si belle chose pouvait exister et malgré les tourments et malgré les obstacles ils étaient toujours là souriant, emportées par leurs passions,  peu importe l’heure du jour ou de la nuit il émanait de lui une passion extrême, une envie d’être le héros d’un roman, le personnage principal d’un film de Godard, la muse d’une écrivaine de nuit et elle, Elle si vous l’aviez vu elle était le rêve de tout homme c’était comme Anna Karina dans Pierrot le fou, elle était belle, aimée et détestable à la fois, c’était comme si deux aimants étaient dans son cœur la poussant à faire le bien et le mal ; c’était ça leur soucis, le bien et le mal, il se faisait du bien comme ils pouvaient se faire du mal, pour eux c’était facile de se dire je t’aime et je te déteste en quelques minutes, leur bipolarité m’a toujours intriguée, mais je n’ai jamais rien dis.

Et puis un jour, il arriva ce malheur, ils quittèrent chacun le nid douillet de leur amour et allèrent chacun dans un chemin qu’ils ne  savaient pas pour eux, mais qui les éloigneraient de cette passion meurtrière qu’ils avaient entretenus et qui les auraient tués de toute manière.

En partant il lui expliqua quelque chose, au pied d'un arbre, dans un jardin parisien, il lui raconta l'histoire de sa vie et celle qui fallait qu'elle suive, il lui expliqua qu'il fallait qu'elle soit aussi forte que ce grand chêne sous lequel ils venaient se réfugier lors des longues après-midi d'été, la force lui manquait, le courage de lui dire ses sentiments aussi. 



Un passage ...

Hello friends ! 

J'ai été absente depuis deux longs mois, loin de moi une volonté d'abandonner mon blog, mais j'ai du m'occuper de pas mal de choses, ce qui ne me laissait ni le temps, ni la place pour l'inspiration ...mais je pense que maintenant je peux faire mon grand retour, c'est l'été et la saison des concert à commencé...je repars en quête de nouvelles sensations, de nouvelles passions, de nouveaux articles ! 

Je vous délivre quelques chanson que j'écoute beaucoup en ce moment ...my mood :)